"C’est à travers les yeux de la France que je commençais à voir." R. Kipling
Alice et Rudyard sont nés la même année : en 1865. Alice, à Oxford, de
mère inconnue (mais de père bien identifié, Charles Lutwidge Dodgson,
alias Lewis Carroll), et Rudyard à Bombay, de... Alice (une autre,
belle-soeur du peintre Edward Burne-Jones) et de John Lockwood Kipling,
professeur de sculpture et d’architecture à l’école d’art de Bombay. [...]
C’est pour regonfler le moral de son fils
que John Lockwood l’emmène avec lui à Paris, au printemps 1878, alors
que s’ouvre l’Exposition universelle -il y est responsable d’une partie
de la section indienne. Le père et le fils sont logés derrière le parc
Monceau, dans "une pension pleine d’anglais". Pendant que son père
expose, Rudyard se promène dans les rues de la capitale. Il visite
Notre-Dame à la recherche de Quasimodo. Son père trouve bon qu’il
apprenne le français... et lui fait lire Jules Verne.
Dans l’Exposition universelle, Rudyard tombe en arrêt devant un tableau
représentant la mort de Manon Lescaut. A dix-huit ans, il lira l’oeuvre
de l’Abbé Prévost, qui lui inspirera plus tard The light that failed.
Cet intermède parisien s’achève, et Kipling rejoint son College. Ce
n’est qu’en 1882 que, grâce à son père, il s’établit en Inde et devient
journaliste pour la Civil and military Gazette de Lahore.
En 1889, il revient en France à l’occasion d’une nouvelle Exposition
universelle, et loge dans un petit hôtel des Batignolles.
Après l’avènement de l’automobile, il voyage régulièrement en France et
parcourt différentes régions. Il séjourne en particulier à
Vernet-les-Bains plusieurs années de suite pour soigner la santé de sa
femme. L’année 1921 les trouve à Hyères et à Cannes, puis à nouveau
1923.
En 1918-1919, après avoir perdu son fils sur le front, il est membre de
la commission britannique chargée des cimetières de guerre en France.
Autres demeures de l’auteur
Son enfance et son adolescence le trouvent en Italie, en Angleterre, en
France, avant qu’il ne devienne journaliste en Inde, de 1882 à 1889, et
écrivain célèbre dès 1887, avec les Simples contes des collines.
Ses voyages reprennent ensuite dans le monde entier. Son mariage en
1892 avec une américaine l’emmène quatre ans dans le Vermont. A partir
de 1896, il rejoint l’Angleterre et s’installe dans le Surrey, avant de
s’établir dans sa propriété de Bateman’s dans le Sussex, à partir de
1902.
Colonel Sambott, vous avez tout faux !!!
Non, le cerveau de nos jeunes n'est pas fragile et quel est ce pays où on les considère comme des adolescents jusqu'à 20 ans et plus ... C'est à 18 ans qu'on est majeur et qu'on obtient le droit de vote , ne l'oublions pas !!! Moi qui ai profité pour mes 20 ans du changement d'âge de la majorité je ne l'oublie pas !!!
Je ne cherche donc à influencer personne , d'autant plus que pour une fois les arguments des défenseurs du oui ou du non me paraissent convaincants et que si j'ai laissé parler ma raison dans mon vote, je regrette quelque part de n'avoir pas laissé parler mon coeur !
Et puis de toute façon quelle peut bien être la portée de ce blog quand 40000 nouveaux naissent chaque jour !!!
Alors je vais vous faire un cadeau, si vous voulez lire une belle fable, allez voir ici:
http://csdptt.org/article338.html
Et puis, si vous y tenez, allons-y pour le
" Z'y f 'rais qu' ça " tout dépend ce ce qu'on met sous le ça !!!
Alain le Sténanais
Rédigé par : A. Le Stenanais | 29/05/2005 à 17:46
Cette fois le Sténanais vous êtes démasqué ( Hollande, J.C et pourquoi pas D.C.B ou F.B tant que vous y êtes) ... alors toute cette carabistouille n'avait qu'un seul but ... introduire subreptiscement le doute dans les cerveaux fragiles de notre jeunesse pour l'amener à voter SI (oui) au prochain référendum !!!
Mon cher ami , à mon humble avis c'est d'un psychiatre et d'un traitrement de choc dont vous me semblez avoir urgemment besoin !!!
Si je peux me permettre de vous conseiller le ZYFREXA , dans votre cas cela me paraitrait tout à fait adapté .
Colonel J. Radott
Rédigé par : J. Radott | 27/05/2005 à 13:07
Edith c'est formidable ... hier vous avez fait une inversion dans la clé de décryptage ( +1.-1 au lieu de -1.+1)et je vous ai si j'ose dire emboité le pas ...
C'est bien KTMDT DDTZS qui a inventé ce code!!!
Mais grâce à vous j'ai enfin découvert le nom du grand maître actuel de la Confrérie des Philadelphes ... celui qui détient cette relique que je cherche depuis si longtemps et qui dans le contexte passionnel que nous vivons revêtira bientôt une importance capitale , le
DZTPVD ED WDSBJMHDUNSHA !!!
Alain le Sténanais
Rédigé par : A. Le Stenanais | 27/05/2005 à 08:12
Désolé de vous décevoir Edith, mais je pense qu'il ne s'agit ici que d'une simple coïnsidence ...
Allez voir pourtant isi:
http://www.u-blog.net/melfrid/note/9992
Et rien que pour vous Edith , voici le nom de celui qui a inventé ce code, c'est:
IVKFR BFRBQ
Vous voyez qu'il ne date pas d'aujourd'hui !!!
A.L.S
Rédigé par : A. Le Sténanais | 26/05/2005 à 12:59
Mais si j'applique la clé de décryptage à IF j'obtiens JE ...
Mr le Sténanais est ce cela le secret de SI ?
Et quand nous parlerez vous davantage de S.K.B.O ? Quel rapport avec une pomme ou les Beatles ou la Hollande ?
Edith
Rédigé par : Edith Denantes | 26/05/2005 à 08:41