
AgenceFauce Presse
Communiqué du 10 mars 2005:
Un Franc Comtois d'origine Ariégeoise
découvre que le Dormeur du Mal
a été écrit à Nans sous Sainte Anne ...
Quelles sont vos sources ?
A.L.S :-) Voici comment mes recherches sur le web m'ont permis d'étayer de façon irréfutable mon affirmation ...
Pour plus de détails vous vous en référerez directement aux deux sites concernés .
ACTE I
http://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Rimbaud
1870 - Entré en classe de rhétorique, Rimbaud rencontre Georges Izambard. Cet enseignant lui fait lire Victor Hugo, Théodore de Banville, Rabelais et lui ouvre sa bibliothèque.
[...] À la fin du mois d'août, Rimbaud quitte brusquement Charleville pour gagner Paris. Le 19 juillet, la France est entrée en guerre contre la Prusse : Rimbaud espère sans doute assister à la chute de l'empereur, affaibli par la bataille de Sarrebrück. [...]
ACTE II
Dessiner entre amis
Mais Rimbaud n’a pas pour autant cantonné ses talents graphiques à la simple caricature. Sa pratique du dessin remonte à loin, avant ses années parisiennes. Enfant déjà, il aime dessiner. Daté de 1865 environ, le tout premier dessin qu’on connaisse de lui, Navigation (tout un programme déjà…), le montre avec son frère Frédéric en train de s’amuser à monter à bord d’une barque amarrée-; l’un d’eux appelle au secours-. Le trait est enfantin mais expressif, un peu raide peut-être, privilégiant cependant le mouvement et l’énergie sur la précision et le soin. De cette époque restent quelques dessins tracés sur tout et n’importe quel support, par exemple derrière les planches de son atlas de géographie Delamarche-Grosselin. Les caricatures ont déjà la part belle-; il reproduit des gravures vues dans des journaux illustrés-; quelques portraits complètent sa production graphique d’alors. Parmi eux une esquisse semble faire sens-: la silhouette d’un marcheur, de dos, les mains dans les poches. Il avance d’un pas ample, comme l’ombre d’une rêverie, un moment d’inattention. Le personnage dégage une sorte de désinvolture qu’on imagine sans difficulté être celle de Rimbaud. Le trait, à peine marqué, est fluide, légèrement déformant. La silhouette s’enfonce vers l’intérieur du livre, vers des pages inconnues, à l’image du poète en devenir progressant sur le chemin vierge de la création.
L’ensemble des dessins autour de Rimbaud, qu’ils soient signés de lui ou de certains de ses proches, constituent d’importants jalons biographiques. Les esquisses et autres croquis brossent le portrait de plusieurs milieux dans lesquels Rimbaud a vécu, qu’il s’agisse d’un environnement artistique, amical, familial ou amoureux.
À son arrivée à Paris, c’est auprès des artistes de la bohème qu’il trouve refuge. De nombreux dessins attestent sa présence parmi eux et les liens qui l’unirent à certains. Ainsi Rimbaud fréquente nombre de dessinateurs et caricaturistes-: André Gill, futur collaborateur de l’Album zutique, dont le jeune poète admire déjà les dessins parus dans L’Éclipse avant même d’être à Paris-; le photographe Étienne Carjat, ami de Baudelaire, de Courbet et de Daumier, poète occasionnel, directeur de Diogène puis du Boulevard, et agressé par Rimbaud lors d’un dîner des Vilains Bonshommes-; Forain, rencontré au moment de la Commune alors qu’il peint pour vivre enseignes et éventails, auteur d’un croquis du poète et dépositaire de plusieurs de ses manuscrits. D’autres noms moins illustres accompagnent ces figures majeures du milieu artistique dans lequel Rimbaud baigne-: Michel de l’Hay, Edmond Maître, Henri Guérard… Les frères Cros prennent aussi une part importante au bouillonnement bohème. Henri a caricaturé Verlaine. Antoine a dessiné le frontispice de l’Album zutique créé par Charles, poète et inventeur du paléophone, appareil préfigurant le phonographe d’Edison. Dans l’Album, chacun peut écrire ou dessiner librement. En marge du poème «-J’occupais un wagon…-» par exemple, Rimbaud fait figurer trois petits croquis équivalant à des saynètes inspirées du texte. Cela ressemblerait presque à de la bande dessinée-: on voit d’abord un prêtre à la fenêtre du wagon, puis ce même prêtre avec Rimbaud – suppose-t-on – qui lui donne une chique, enfin une vue du wagon avec le prêtre sur la gauche. Les dessins suivent le mouvement de défocalisation du poème-: un personnage, puis quatre ou cinq, puis un groupe entier d’anonymes, les «-voyageurs-».
[...]
http://www.adpf.asso.fr/adpf-publi/folio/rimbaud/images.html
ACTE III
La preuve est là, écrite de sa main, derrière ce miroir ... Merci Céline pour ton association !!!
Car c'est cette écriture qui est toute ma preuve , la même qui figure sur les lettres froissées ,
trouvées dans ce placard du
un jour où par hasard j'aidais Phi à ranger !!!
Qui les y avait laissées , peut-être un vieux facteur,
avide de savoir ce qu'elles contenaient ...
comme vous maintenant , mais vous n'en saurez rien ...
car cette fois elles reposent,
dans un endroit caché déposées par mes mains ...
Tout ce que je peux vous dire , c'est que nos deux compères,
Gustave R , Arthur C *
ont souvent devisé sur l'origine du monde,
en cet endroit magique en dessous d'une Via ...
Signé AloAx ...
À quoi sert l’art ?
Située au-delà de tout désir et liée à la contemplation spirituelle, l'œuvre d’art, comme le signale Hegel, satisfait les plus hautes aspirations spirituelles de l’homme : appréhender sa forme spirituelle dans le monde, se saisir, en tant qu’esprit, dans le réel et dans les choses, contempler son esprit, son humanité en dehors de lui-même. L’art est bien l’esprit se prenant pour objet. Dans le jugement et le sentiment esthétiques, c’est l’esprit qui se projette ou se retrouve dans les choses. La beauté peut être considérée comme la manifestation extérieure de l’intérieur, comme l’articulation de l’intelligible et du sensible, la « spiritualisation » de la matière, en même temps que la manifestation visible de l’invisible.
-En rupture avec toute valeur d’usage, l’art nous fait pénétrer dans le royaume des fins, qui est la gratuité totale, désintéressée de l’être. Par la purification des sens, la dématérialisation du désir que la beauté inspire, l’expérience esthétique nous fait naître à la dimension suprasensible. Dès lors, comme l’a pressenti Platon, le Beau est le symbole du Bien, manifestant un ordre inconnaissable en soi mais exprimé par la plus haute vocation humaine.
L’art ne remplit donc pas seulement des fonctions magiques (le besoin de se rassurer, de dominer, de donner du sens aux grands mystères de l’existence), religieuses (croire, vénérer, aimer, etc.), psychologiques (s’évader du réel, l’embellir), il renvoie tout autant à un besoin de spiritualité, d’expression, à une quête du sens contre la mort et le néant. Comme le dit Malraux, « l’art est un anti-destin » par lequel l’homme peut résister à l’impermanence de toute chose. Si la postmodernité fait son deuil du sacré, de la vérité, de Dieu, elle ne saurait faire son deuil du Beau et de l’art, qui demeurent compagnons d’une vie vouée au non-sens et à l’absurde. L’art et le Beau jouissent ainsi d’un privilège incontestable.
Hegel ou presque ! Rocmeryplaybeaucoup
Rédigé par : Rocmeryplaybeaucoup | 28/04/2005 à 14:08
Moi, sa gissant de l'origine du monde , j'aurais plutôt dit big band ... c'est un groupe qui fait du jazze je crois !
popaul
Rédigé par : popaul | 31/03/2005 à 17:56
D'après un rapport de police du facteur, c'est la faute à Courbet qui se tenant debout sur sa voiture à cheval (il avait des hémorroïdes!!)l’a déséquilibré dans le virage serré situé devant l’église de Nans Sous sainte Anne. L’accident fut fatal à l’essieu de la voiture obligeant les trois compères, Gustave, Max , (Max Buchon son copain de toujours,) et un autre homme non identifier à ce jour, à chercher gîte et couvert jusqu’au lendemain.
Contre une peinture réalisée sur la porte de la cuisine et un sonnet déclamé par Max, la table fut mise et la veillée préparée dans la maison même du citoyen dont les murs, au dire de courbet, avaient bougé au passage de sa monture...
Seul reste silencieux l'inconnu qui griffonne un cahier; Courbet insiste pour qu'on le laisse tranquille. "Il travail sur l'origine du monde!" indique t'il. Chacun pense déjà au big-bang et émet des hypothèses quant au réalisme de la théorie de la relativité auprès de l’éternelle féminin.
Rédigé par : Rocmeryplaybeaucoup | 30/03/2005 à 17:49
c'est super, ça va marcher
la communauté de l'anneau
Rédigé par : alain | 30/03/2005 à 09:09
dis mon grand , c'est quand le foolday ?
Rédigé par : fool day ? | 26/03/2005 à 11:59